« Nous avons tous connus enfants, ces vieilles histoires de contes de fées pleins de châteaux peuplés de princesses et dressés de donjons. Ces histoires, on nous les racontait à l’école dans les petites classes, ou nos parents nous les lisaient à la douce lumière d’une lampe de chevet, assis au bord de notre lit, pour nous endormir. Il s’agissait d’histoires où les héros étaient des personnages fantastiques, qui vivaient dans un environnement surdimensionné, et où régnaient des géants. Si les auteurs de ces vieux contes glissaient dans leur récit un e leçon morale exemplaire, pleine de bravoure et de sentiments chevaleresques, quant est-il du fond légendaire ? Ces histoires, on le sait, s’inspirent souvent des mythes d’autrefois, des vieux textes sanscrits, mais aussi de la Bible qui nous parle d’un temps où les géants vivaient sur la Terre… »
« Ces mythes, qui passent pour des histoires à dormir debout, prendraient leur sources dans une mémoire collective, gardienne d’une histoire cachée de notre monde. Il s’agirait de souvenirs appartenant à l’inconscient collectif, et qui se manifesterait au monde tout en finesse. Parfois par l’intermédiaire de personnes douées pour les contempler et les retranscrire sous forme de fables, en usant de paraboles sous le voile de contes pour enfants nous parlant d’un monde qui autrefois était différent. Des histoires qui commencent par : « Il était une fois… », un terme qui contrairement à ce qui peut paraître, établit clairement la réalité des faits qui seront révélés tout au long du récit. L’histoire disparue de la Terre resurgirait-elle dans l’esprit de certains auteurs inspirés ? Philip K. Dick, célèbre auteur de science-fiction, parle de « souvenirs récupérés » certifiant que ses œuvres fictionnelles étaient vraies, issues de rêves enfouis dans son subconscient. »
Pascal Vieillard
« Un monde fabuleux, antérieur au nôtre, peuplé de géants et d’architectures grandioses aurait-il été détruit au point qu’on en ait perdu non seulement le souvenir, mais aussi la trace ? »
Pascal Vieillard
Pour le souvenir du peuple, cela est facile, surtout avant le 19ème siècle. Il ne faut que 3 générations, voire moins, pour faire passer un mensonge pour la vérité ou pour faire oublier à l’inconscient collectif une partie du passé.
« Il n’en resterait que le récit épique de nos légendes. Certains chercheurs ont déjà évoqué cette possibilité. Je me souviens de mon étonnement en lisant pour la première fois l’hypothèse selon laquelle certaines montagnes et autres grands rochers du monde ressemblaient en fait à des cités vitrifiées appartenant à un autre âge. Robert Charroux en fait mention avec quelques arguments photographiques dans l’un de ses livres.
Le livre des secrets trahis – Robert Charroux (L’aventure Mystérieuse).
Un article dans une revue oubliée a également retenu mon attention sur ces fameuses cités et forteresses pétrifiées que Robert Charroux décrivait. La question qui demeure, c’est comment de tels ouvrages de roches et de pierres élevées ont-ils pu être pétrifiés ou vitrifiés ? »
Pascal Vieillard
« Certains chercheurs de vérité affirment que ce sont des géants qui ont édifié ces monuments. Les mythes nous rapportent en effet que des dieux-géants ont bâti des cités ainsi que des forteresses, et qu’ils disposaient à l’époque de nombreuses armes redoutables capables de faire fondre de la roche elle-même. En interrogeant quelques amis sur la question des géants, je me suis rendu compte que la majorité d’entre eux était en clin à accepter l’idée de leur existence dans une primo histoire lointaine et oubliée… »
Pascal Vieillard
« Certains chercheurs de vérité affirment que ce sont des géants qui ont édifié ces monuments. Les mythes nous rapportent en effet que des dieux-géants ont bâti des cités ainsi que des forteresses, et qu’ils disposaient à l’époque de nombreuses armes redoutables capables de faire fondre de la roche elle-même. En interrogeant quelques amis sur la question des géants, je me suis rendu compte que la majorité d’entre eux était en clin à accepter l’idée de leur existence dans une primo histoire lointaine et oubliée… »
Pascal Vieillard
« En dehors des monuments antiques relevant de l’art du gigantisme architectural et dont on ignore encore le mode de fabrication et de construction comme par exemple les pyramides, les chercheurs de vérité estiment qu’il y a d’autres indices attestant que la terre porte effectivement les stigmates témoignant de l’ouvrage des géants, mais aussi d’un environnement terrestre adapté à leur mesure. »
Pascal Vieillard
« Il existe un peu partout sur Terre des formations rocheuses que les géologues considèrent comme absolument naturelles, mais dont les aspects structurels très particuliers rappellent étrangement des formes qui nous sont familières. »
Pascal Vieillard
« Je pense notamment à cette structure appelée Devils Tower qui surplombe la vallée de l’état du Wyoming aux Etats-Unis, offrant un panorama grandiose à la vue de tout visiteur et voyageur empruntant la route mythique 66. A y regarder de plus près, avec l’esprit ouvert, cette montagne prétendument formée de roches ignées, ressemble à s’y méprendre à la souche d’un arbre géant pétrifié.
Son apparence inhabituelle a donné naissance à de nombreuses légendes.
D’ailleurs en 1977, « la tour du diable » fut utilisée pour la scène finale du film Rencontres du troisième type, de Steven Spielberg. »
Pascal Vieillard
« En interrogeant mes proches sur cette structure, je me suis aperçu que quelques-uns croyaient qu’il s’agissait d’une oeuvre imaginaire du réalisateur pour son film, comme l’a été le « Big Thunder Mountain » à Disneyland, conçu pour une célèbre attraction de montagnes russes, ou le rocher du parc des Buttes-Chaumont à Paris, ou encore come le Grand Rocher du Zoo de Vincennes, qui eux sont totalement artificiels. »
Pascal Vieillard
« Il a été formulé un certain nombre d’hypothèses sur cette formation géologique hors norme. Dans le milieu scientifique officiel, Devils Tower serait une laccolithe, résultant d’un jaillissement de magma en provenance des profondeurs de l’écorce terrestre… »
Pascal Vieillard
« Pour les chercheurs de vérité, cette explication est difficilement acceptable, pour la simple raison que les formations de coulées de lave ne présentent jamais l’apparence « géophysique » que l’on observe avec la « tour du diable ». Il est vrai que la tour nous fait penser à la souche d’un arbre géant que l’on aurait coupé soigneusement à l’aide d’une tronçonneuse.
Il va sans dire que le bûcheron devrait être gigantesque. »
Pascal Vieillard
« Ce qui surprend, ce sont des sillons verticaux aux angles réguliers. Edifiés telles des colonnes géantes, elles semblent s’étirer en formation avec une géométrie organisée, où brusquement elles s’interrompent par un sommet plat, en « flat top ». »
Pascal Vieillard
« Comment expliquer que l’on puisse trouver à la surface de l’immense plateau de telles formes géométriques ? La réponse habituelle que la science nous sert est la suivante : la nature utilise de façon universelle ces formes pour construire ses chefs d’œuvre. De mon point de vue c’est peut être juste de l’enfumage. »
Pascal Vieillard
« On voit sur cette photo de la Devils Tower prise à sa base qu’il est difficile de croire que sa formation originelle vient d’un jaillissement de lave en provenance du manteau terrestre. De fait, jamais aucun géologue ou volcanologue n’a observé un tel phénomène aussi remarquable. Je me suis interrogé sur ce point et j’ai trouvé le plus éminent chercheur en la matière, le professeur Nick Zentner, géologue de renom de Central Washington University aux Etats-Unis sur Ellensburg. Je l’ai interrogé sur cette anomalie. Voici notre échange :
– PV : » Le magma n’a pourtant pas pour habitude de se maintenir sur cette hauteur en formant de telles figures géométriques. On n’az jamais vu ça !
– NZ : Pascal, je suis ravi de répondre à vos questions, oui, il n’y a plus ce genre de coulée de lave active sur notre planète aujourd’hui, formant ce genre de concentration, parce que ces matières sont à 100 pieds et plus ; mais ce fut courant il y a longtemps.
– PV : Professeur… comment le magma a-t-il réussi une telle performance ? En terminant sa course par un sommet parfaitement plat ?
– NZ : Ce genre de colonnes de basalte forme de telles coulées de lave lorsqu’elles sont très épaisses, puis s’arrêtent et commencent à refroidir.
– PV : Mais cette matière, Nick, ce genre de figures géométriques se retrouvent un peu partout sur Terre ?
– NZ : Bien sûr, la chimie de basalte de ces colonnes de Devils Rock est identique aux laves de Todayâ, d’Hawaii ou d’Irlande… dans la vallée des géants.
– PV : Pourriez-vous imaginer, je vous prie, que la Devils Tower (et d’autres) puisse être autre chose ? Une souche d’arbre fossile, par exemple ?
– NZ : Il y a un mouvement sur le web très récent, liant ces colonnes de basalte avec des souches d’arbres géantes.
Mais pour moi en tant que scientifique, je n’ai aucune base pour confirmer ces affirmations.
Il faut être prudent. Mon étude sur ces colonnes montre qu’elle exclut de telles affirmations.
– PV : Que dire alors de ces formes hexagonales que l’on retrouve sur de nombreux sites ? La lave aurait-elle une sorte de mémoire de formes ?
– NZ : C’est une question de refroidissement, la forme hexagonale des colonnes est un problème de physique, impliquant le rétrécissement et la contraction des surfaces. » »
Pascal Vieillard
« La base de la montagne forme des lignes verticales qui ressemblent étrangement à l’écorce d’un arbre. Les détails en coupe de ces lignes montrent une structure en nid d’abeilles. »
Pascal Vieillard
« Vous l’aurez compris, le professeur Nick Zentner rejette l’idée que ces édifices puissent être autre chose que des laccolithes.
Inutile de vous dire que j’ai contacté plusieurs de ses confrères qui restent sur la même position. Mais eux n’avaient semble-t-il jamais eu vent de la théorie des souches d’arbres géantes. Il faut se mettre d’accord, sur ce qu’on doit retenir de notre entretien avec le Professeur Zentner. »
Pascal Vieillard
« On retrouve au sol, dans la forêt pétrifiée, des bûches fossiles cristallisées en pierres semi-précieuses de toutes les couleurs.
Or nous savons aujourd’hui que ces variations ne peuvent se produire que sous l’effet d’une chaleur intense. C’est du moins ce que nous dit la physique, et pour témoins nous avons nos joailliers et diamantaires, qui considèrent le traitement thermique des pierres précieuses comme une méthode de mise en valeur naturelle. En portant la température des pierres à 1600 degrés ils parviennent en effet à modifier la couleur des pierres, tout en affirmant qu’il s’agit là du prolongement d’un processus qui se produit sous terre, donc par effet de chaleur. »
Pascal Vieillard
« D’abord il nous affirme qu’il n’y a plus de coulée de lave active de ce genre sur la Terre depuis X millions d’années. C’est le principal point à retenir. Il confirme que personne n’a jamais observé de telles coulées en formation. Dans un même temps, il explique que ces éruptions basaltiques étaient très épaisses. »
Pascal Vieillard
« J’ai eu beau chercher, toujours en interrogeant les meilleurs géologues, aucun de ces scientifiques n’a été en mesure de me dire où se trouvait ce fameux magma plus épais ou plus dense qu’avant… Magma qui se serait enfui en sous-sol. »
Pascal Vieillard
« Si tel est le cas, m’ont-ils fait remarquer, cela remettrait en question tout ce que l’on croit savoir sur la nature du manteau terrestre. Tout ça pour la simple raison qu’il n’existe qu’une seule forme de magma depuis des millions d’années : c’est celui produit par le noyau liquide au centre de la Terre (??). Les termes qui différencieront la matière du magma dans sa nomination, c’est l’aspect final qu’il prendra une fois refroidi au contact de l’atmosphère, de l’eau ou du sol. »
Pascal Vieillard
« De fait, nos scientifiques affirment que la température du noyau solide n’a pas varié depuis qu’est apparue la croûte terrestre. Ainsi, dans le manteau terrestre, la magma s’élève vers la surface par l’effet de cellules de convection, par échange de chaleur.
C’est une mécanique des couches qui ne survient que dans des milieux fluides. Sans Besoin d’entrer dans les détails, W. Hopkins en 1839 déjà, expliquait que ces fluides magmatiques existaient en cet état depuis le début de l’histoire de la Terre. C’est toujours ainsi que le magma a été défini et représenté, bien que parfois les esprits divergent en particulier sur l’asthénosphère. »
Pascal Vieillard
« De fait, nos scientifiques affirment que la température du noyau solide n’a pas varié depuis qu’est apparue la croûte terrestre. Ainsi, dans le manteau terrestre, la magma s’élève vers la surface par l’effet de cellules de convection, par échange de chaleur.
C’est une mécanique des couches qui ne survient que dans des milieux fluides. Sans Besoin d’entrer dans les détails, W. Hopkins en 1839 déjà, expliquait que ces fluides magmatiques existaient en cet état depuis le début de l’histoire de la Terre. C’est toujours ainsi que le magma a été défini et représenté, bien que parfois les esprits divergent en particulier sur l’asthénosphère. »
Pascal Vieillard
« De fait, nos scientifiques affirment que la température du noyau solide n’a pas varié depuis qu’est apparue la croûte terrestre. Ainsi, dans le manteau terrestre, la magma s’élève vers la surface par l’effet de cellules de convection, par échange de chaleur.
C’est une mécanique des couches qui ne survient que dans des milieux fluides. Sans Besoin d’entrer dans les détails, W. Hopkins en 1839 déjà, expliquait que ces fluides magmatiques existaient en cet état depuis le début de l’histoire de la Terre. C’est toujours ainsi que le magma a été défini et représenté, bien que parfois les esprits divergent en particulier sur l’asthénosphère. »
Pascal Vieillard
« Loin de moi l’idée de mettre en doute les compétences des géologues. On peut cependant se poser des questions sur leurs affirmations touchant à la Devils Tower et d’autres sites similaires. Ces affirmations ne sont pas fiables en effet. Rien ne vient les confirmer. Il faut savoir que les géologues n’ont pas étudié les structures internes de ces lignes en sous-sol. Ils ne disposent que de probabilités très schématiques sur les interactions de l’écorce et du manteau terrestre. »
Pascal Vieillard
« Je m’interroge : il semblerait que la science officielle s’est arrangée pour trouver le moyen de cacher ces souches d’arbres au public.
En effet les experts dans ce domaine ont tous une même explication pour expliquer ces formes inhabituelles, qui se présentent partout sur la Terre par centaines. »
Pascal Vieillard
« Il serait tentant de se poser la question : y a-t-il quelque part des traces de branchages fossiles, pétrifiés ? Voici qui vient conforter notre hypothèse : les végétaux se pétrifient effectivement sous forme de roche. »
Pascal Vieillard
« Il existe de nombreux « musées à ciel ouvert » à travers le monde, souvent occultés par les médias et les scientifiques, comme la forêt pétrifiée à la limite des provinces de El Oro et de Loja dans le sud de l’Equateur. Il y a encore la forêt pétrifiée du Damaraland en Afrique du Sud. Enfin, pour ne citer que les plus connues, aux Etats-Unis, en Arizona, nous avons une forêt pétrifiée s’étendant sur 378 km2, appelée « Petrified Forest National Park ». On croit à tort que cette forêt présente un cas unique. Certains chercheurs de vérités voient ici, non pas des troncs d’arbres fossilisés, comme le prétend la version officielle, mais des branches d’arbres géantes, qui semblent avoir été coupées à l’origine et empilées, puis dispersées au cours du temps.
Comment ne pas s’interroger ? La science nous explique que le processus de fossilisation se produit sous terre, lorsque le corps est enterré sous des morceaux de sédiments. C’est ainsi que les corps se préserveraient, à l’abri de l’oxygène. Ainsi, pour qu’une pétrification de cette ampleur se réalise, il aurait fallu une pression colossale de sédiments. »
Pascal Vieillard
« On retrouve au sol, dans la forêt pétrifiée, des bûches fossiles cristallisées en pierres semi-précieuses de toutes les couleurs.
Or nous savons aujourd’hui que ces variations ne peuvent se produire que sous l’effet d’une chaleur intense. C’est du moins ce que nous dit la physique, et pour témoins nous avons nos joailliers et diamantaires, qui considèrent le traitement thermique des pierres précieuses comme une méthode de mise en valeur naturelle. En portant la température des pierres à 1600 degrés ils parviennent en effet à modifier la couleur des pierres, tout en affirmant qu’il s’agit là du prolongement d’un processus qui se produit sous terre, donc par effet de chaleur. »
Pascal Vieillard
« Ce phénomène est incontestable. On sait qu’au moment de la chauffe d’un matériau se produit une modification de couleur. La couleur obtenue correspondra à une température. La stabilisation de la couleur choisie impliquera alors des techniques de refroidissement plus ou moins lent ou rapide. On se demande plus ou moins ce qui a bien pu se passer en Arizona où l’on constate le même phénomène de colorisation. Le temps n’est en rien responsable à l’affaire. Il a fallu qu’il se produise une catastrophe de grande ampleur, comme une explosion générant une chaleur infernale, et pourtant rien sur le site ne semble l’indiquer. Ces arbres ou branches fossilisées en pierres semi-précieuses restent un mystère… »
Pascal Vieillard
« Les versions officielles sont très rarement remises en cause. Les hypothèses avancées il y a fort longtemps finissent par devenir des dogmes et par s’imposer en tant que réalité physique, comme par exemple le principe Carnot ou l’effet Venturi. Autant dire que le chercheur de vérité a du pain sur la planche. »
Pascal Vieillard
« Ainsi le monde oublié des géants réapparaît sous une forme que l’on n’attendait pas. Dans le hors série numéro 8 de Top Secret, Pascal Cazottes s’est largement penché sur l’existence des géants. L’ouvrage argumenté et bien documenté nous montre l’importance du mythe des géants dans les anciennes traditions et le folklore. »
Pascal Vieillard
« Ici à présent, nous sommes confrontés à des vestiges surprenants, réputés avoir été conçus sans intervention humaine. Et comme nous l’avons vu, ces souches d’arbres géants fossiles et leurs branchages pétrifiés qui défient la logique et la science se retrouvent partout sur la Terre. »
Pascal Vieillard
Nombres 13:33
Et nous y avons vu les géants, enfants d’Anak, de la race des géants : nous étions à nos yeux et aux leurs comme des sauterelles.
(Louis Segond Bible)
« Ce voyage à travers le monde lointain et gigantesque des géants ne me semblait pourtant pas complet. J’avais le sentiment qu’il me manquait encore quelque chose. J’avais ces grands arbres gigantesques, ces branchages, tout cela sous forme fossile…
Imaginez une seconde : le diamètre d’une souche d’arbre est approximativement égal à 1/20 d’un arbre entier.
Ainsi, à en croire cette hypothèse, Devils Tower aux Etats-Unis, devait atteindre près de 6 kilomètres de hauteur !
Des proportions tellement considérables… Comment prendre tout cela au sérieux ? »
Pascal Vieillard
« Il faudrait encore au moins un autre indice. Je me suis alors souvenu qu’on reconnaît un arbre à ses fruits. Je me suis dit alors que si ces arbres géants avaient réellement existé, alors nous devrions peut-être retrouver trace de leurs fruits. »
Pascal Vieillard
« Si l’on trouvait de telles traces un peu partout dans le monde, la thèse commencerait alors à prendre corps et pourrait peut être sérieusement être discutée et étudiée. Je me suis alors souvenu d’une émission diffusée il y a une décennie et consacrée au mystère des boules de pierre du Costa Rica. Ces sphères de » Piedras Blanca » (noyaux blancs) ont été retrouvées dans la forêt de la vallée de Diquis, dans les années 1930. »
Pascal Vieillard
« Trois cent sphères parfaites de tailles différentes ont été retrouvées là, au plus profond de la jungle. Les plus grosses mesuraient jusqu’à 2,15 mètres de diamètre et pesaient 16 tonnes. »
Pascal Vieillard
« Ces sphères rocheuses restent une énigme. Il est impossible de les dater. Impossible aussi d’attribuer leur réalisation à un peuple ou à une civilisation connue. Ce qui frappe l’observateur, c’est leur parfaite régularité et leurs tailles exceptionnelles. Aucun homme ne pourrait les manipuler. Les chercheurs ne comprennent pas non plus leur utilité. Enfin, détail étonnant, on ne trouve pas ce style de roche à moins de 100 kilomètres du site. Comment et pourquoi ces boules mystérieuses ont-elles pu être transportées jusque-là ? »
Pascal Vieillard
« En Sibérie des ouvriers ont récemment fait une découverte incroyable dans une mine de charbon de la région de Krasnoïarsk.
Ils ont eu la surprise de déterrer à trente mètres sous terre une dizaine de sphères rondes et lisses d’un peu plus d’un mètre de diamètre. »
Pascal Vieillard
« On dit que ces sphères auraient la particularité de changer de couleur lorsqu’il pleut. Des journaux ont eu la bonne idée de faire courir le bruit qu’il s’agissait d’oeufs fossilisés de dinosaures, et les institutions locales les ont rebaptisées » perles du Jurassique « . »
Pascal Vieillard
« Les boules géantes de roche découvertes sur les plages de Moeraki(?), en Nouvelle-Zélande, sont l’attraction de milliers de touristes chaque année. La mer a creusé les terres et a laissé apparaître des centaines de boules parfaitement rondes. Certaines sont à moitié sous terre, d’autres cassées ou fendues, révélant un creux central. »
Pascal Vieillard
« Personne ne comprend leur origine, ni la façon dont elles ont été produites. Selon moi, les alentours n’ont pas suffisamment été explorés. Les boules ne sont pas seulement présentes sur les plages, mais aussi très loin dans les terres. Il suffit de consulter Google Maps pour le constater. Mais surprise ! Le système Google nous empêche l’approche visuelle du sol, une sorte de censure ? Pourquoi la navigation au sol est-elle également restreinte sous Google dans cette zone ? »
Pascal Vieillard
« Des sphères du même genre se retrouvent un peu partout dans le monde. On aurait également découvert de semblables boules de pierres aux USA, dans le Tennessee, en Arizona, en Californie et dans l’Ohio. Les hypothèses ne manquent pas sur ces sphères mystérieuses. Les sites où on les trouve sont en nombre suffisant pour se contenter d’explications plus ou moins hasardeuses.
Certains ont parlé de l’œuvre d’extraterrestres, de pontes de dinosaures ou encore de vestiges d’anciennes civilisations dotées de technologies inconnues. »
Pascal Vieillard
« En réalité, les archéologues ne parviennent pas à expliquer leur provenance. Selon le chercheur et journaliste américain Jock Doubleday, l’archéologie serait même passée à côté de la découverte la plus étonnante de la décennie : une mégasphère trouvée en Bosnie, d’un poids estimé de 37,33 tonnes, encastrée dans la terre. »
Pascal Vieillard
( Je me permets, sans preuves, la supposition de l’arrondi arrangé à 0.33. J’dis ça, j’dis rien ^^ )
« Le Docteur Sam Osmanagich a analysé en laboratoire le cœur du matériau formant ces sphères. Il prétend qu’elles n’ont pas une origine naturelle, mais qu’il s’agirait plutôt d’une reconstruction artificielle. Les sphères sont constituées d’un matériau différent de celui des pierres classiques environnantes. »
Pascal Vieillard
« Neuf éléments sont exactement les mêmes dans le cas des boules de pierre et de la pierre naturelle, mais étonnamment nous fait remarquer le Docteur Osmanagich, ces boules de pierre n’ont pas de dioxyde de silicium. Elles ont deux autres éléments à la place. L’un est le manganèse [mn], le manganèse que nous utilisons aujourd’hui pour donner la dureté à la matière, et le deuxième est le carbonate de calcium [Caco3]. »
Pascal Vieillard
« Sam Osmanagich en a déduit que cette chimie incompréhensible était la preuve d’une formation artificielle. Selon lui, pour former ces sphères, il a fallu que quelqu’un ajoute artificiellement des additifs à la pierre naturelle pour la maintenir en état de fusion, afin de la couler dans des moules et ainsi obtenir cette forme sphérique. Problème : où sont passés les moules ? Et puis, en quelle matière ces moules auraient-ils été conçus ? Pour Sam Osmanagich, aucun doute, ce sont les habitants d’une autre planète qui ont fabriqué dans notre préhistoire ces boules de pierre. »
Pascal Vieillard
« J’ai eu le temps de consulter ses rapports d’expertises et l’étude du laboratoire. En examinant les commentaires sur ses pages Internet, j’ai découvert qu’une seule personne partageait mes convictions. Hassan Bodih ingénieur dans l’énergie électrique est le premier à avoir formulé de façon scientifique l’hypothèse que ces pierres sphériques de Bosnie, sont en réalité des noyaux de fruits issus de la préhistoire qui se sont fossilisés. La composition des matières s’est transmutée chimiquement par un phénomène d’électrolyse. Cette opération ne peut qu’intervenir sous vide. Sans oxygène, l’hydrogène traverse la matière et se lie aux autres matières. C’est ce qu’il a pu constater lors d’expériences. Cela implique en tout cas que la transformation de matières organiques. »
Pascal Vieillard
« Partout dans le Monde, les voiles des yeux se retirent, l’invisible devient visible… Le Gigantesque des Arbres, du vivant, comme celui des Humains de jadis, trouve sa place dans la Création… Il est impossible d’écarter ces évidences, la raison est de Foi, c’est indéniable…. Si tels; il est Écrit, tels il en sera, c’est Gravé dans nos gènes, nous devions franchir des obstacles de tromperies, de supercheries, pour comprendre les sens de l’invisible. […] »
Hassan Bodih
« J’ai pris contact avec ce chercheur qui m’a fait remarquer que le résultat des études et expertises des matières de Sam Osmanagich, sur les boules de Bosnie, avait été supprimé d’Internet et du moteur Google il y a peu de temps, Hassan Bodhi aimerait en savoir plus sur ces phénomènes de la nature, et compte créer une fondation afin de pouvoir les étudier sérieusement. Nous pensons en fait qu’il pourrait s’agir en réalité de noyaux d’arbres fruitiers géants qui ont subi un phénomène géologique de solidification. »
Pascal Vieillard
Quand vous comprendrez que ces roches étaient vivantes, vous trouverez les preuves partout autour de vous. Nous avons juste besoin de réaliser à quel point nos origines sont totalement occultées, modifiées jusqu’à nous déconnecter de cette réalité. Il n’est pas seulement question de géants, de titans mais il s’agit plus largement d’un camouflage total de notre histoire commune. Après avoir visionné cette compilation de 15 minutes, vous ne verrez peut être plus les montagnes du même œil !
« Une armée constituée de géants pour la Prusse. Frédéric-Guillaume Ier de Prusse (1688-1740) gouverna la Prusse comme une armée, à tel point qu’on le nommait « le roi sergent ». Dans sa volonté de conquête, il imagina une armée de géants : la taille minimale pour y rentrer était de 1m88. »
oneworld besthink
« Le terme de « géant » désigne des êtres de grande taille. Dans toutes les mythologies de toutes les civilisations des cinq continents, il est fait allusion d’une manière ou d’une autre à une civilisation de géants qui aurait jadis régné sur terre. »
oneworld besthink
4 autres vidéos remplies de preuves visuelles :
« Voici une nouvelle petite série cette fois-ci sur les géants Nephilims de la Genèse et du livre d’Enoch. Car le monde n’est pas celui que l’on nous dépeint.
Jean 8.32 « Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira ». Soyez abondamment béni et que la paix du Christ soit sur vous tous. Rétablissons la vérité car il n’y en a qu’une ; elle se nomme Yahushua Yahuwah. AMEN. »
Serviteur du Christ
« Nous n’en sommes qu’au début de nos recherches. Nous n’avons en effet répertorié pour l’instant qu’une partie de notre quête du gigantisme. De nombreux autres édifices sont encore présentés aujourd’hui comme des ouvrages de mère nature. Nous exposerons prochainement d’autres éléments allant dans le sens de notre hypothèse. Le chercheur américain Helder Ning qui a étudié les phénomènes sur le gigantisme nous rapporte que suivant ses calculs et études, il apparaîtrait que la Terre fut autrement habitée par des géants de 100 mètres de hauteur. Pour le chercheur de vérité, les géants ne sont décidément pas que du folklore issu de mythes et de légendes, mais d’un monde antérieur bien réel, tenu dans l’ignorance et oublié. »
Pascal Vieillard
Malgré les évidences visuelles, beaucoup de personnes ne pourront voir et appréhender cette vision des choses, surtout lorsqu’elles pensent que la Terre est une boule de magma qui s’est refroidie à travers des millions d’années.
Ne fermez pas votre esprit, vous risqueriez de manquer quelque chose….
Plus on fait des recherches et plus on s’aperçoit que le monde n’est pas ce que nous pensions qu’il était. La vérité est cachée à nos yeux sous différents voiles qu’il est nécessaire d’enlever pour discerner le vrai du faux. Il est indispensable de se débrancher de nos connaissances pour appréhender le monde qui se trouve devant nous.